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je viens de regarder " miroir "
Par Anonyme, le 26.01.2025
bonjour, j'ai oublié le titre d'un téléfilm après 1968 où hélène dieudonné regardait à la télé brigitte
Par Cantalou, le 07.01.2025
comment retrouver les chroniques de jacques grello dans le journal l'équipe (1952 ?)
Par Anonyme, le 30.12.2024
merci beaucoup et merci pour elle
Par Anonyme, le 25.12.2024
c'était un athléte naturel
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Date de création : 29.05.2011
Dernière mise à jour :
24.11.2025
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Qui n'aurait rêvé d'avoir une grand-mère comme Madeleine Damien? Son visage un peu buriné d'aïeule calme et sa voix douce nous la faisaient aimer dès le premier regard. Enfant de la balle, elle grandit entre un père directeur de théâtre et une mère actrice. On put notamment voir celle-ci en page dans le "Cyrano de Bergerac" donné, en 1913, au théâtre de la Porte Saint-Martin. Elle y côtoyait le célèbre tragédien, et sociétaire du Français, Le Bargy, ainsi que Valentine Tessier, qui jouait le rôle de Lise. le mari de Madeleine Damien, Gustave Damien, organisait de son côté des tournées théâtrales.
Madeleine Damien ne vint qu'assez tard au métier de comédienne, la cinquantaine révolue. Fidèle à son ascendance, elle choisit d'abord le théâtre.
CARRIERE AU THEATRE:
-"La dame aux camélias" (1934), d'Alexandre Dumas fils-Rôle d'Olympe-Théâtre de La Roche-sur-Yon.
-"Oh! Nini tu veux rire!" (1937), de Paul Murio-Théâtre municipal de Caen.
-"Le tableau" (1955), d'Eugène Ionesco-Mise en scène de Robert Postec-Rôle de la voisine-Théâtre de la Huchette.
-"Jacques ou la soumission" (1955), d'Eugène Ionesco-Mise en scène de Robert Postec-Rôles de Jacques grand-mère et de Jacques père-Théâtre de la Huchette.
-"Les héritiers Rabourdin" (1956), d'Emile Zola-Rôle de la nièce.
-"Le sexe et le néant" (1960), de Thierry Maulnier-Mise en scène de Marcelle Tassencourt-Rôle de Martha-Théâtre de l'Athénée.
-"Schweyk dans la deuxième guerre mondiale" (1961), de Bertold Brecht-Mise en scène de Roger Planchon-Rôles d'une cliente du Calice, d'une amoureuse et de la jeune Russe-Théâtre de la Cité.
-"Jacques ou la soumission" (1961)-Reprise-Mise en scène de Robert Postec-Rôle de Jacques Grand-Mère-Compagnie Robert Postec.
-"L'avenir est dans les oeufs" (1962), d'Eugène Ionesco-Mise en scène de Jean-Marie Serreau-Théâtre de la Gaîté-Montparnasse.
-"L'Apollon de Bellac"(1963), de Jean Giraudoux-Mise en scène de René Clermont-Rôle de Mademoiselle Chèvredent-Théâtre Hébertot.
-"Le système Fabrizzi" (1964), d'Albert Husson-Mise en scène de Sacha Pitoëff-Rôle de Mme Varella-Compagnie Sacha Pitoëff.
-"Caviar ou lentilles" (1965), de Giulio Scarnicci-Mise en scène de Gérard Vergez-Rôle de Mathilde-Théâtre Michel.
-"L'hôtel Racine" (1966), de Michèle Perrein-Mise en scène de Claude Sainval-Rôle de Jeannette-Comédie des Champs-Elysées.
-"La flemme" (1969), de Ricardo Talesnik-Mise en scène de Jacques Sarthou-Théâtre de la Banlieue Sud.
-"David la nuit tombe" (1971), de Bernard Kops-Adaptation d'Edith Zetline-Mise en scène d'André Barsacq-Rôle de Madame Everett-Théâtre de l'Atelier.
-"La voyante" (1971), d'André Roussin-Mise en scène de l'auteur-Rôle de Biscotte-Théâtre Marigny.
-"Le tournant" (1973), de Françoise Dorin-Mise en scène de Michel Roux-Rôle de Mathilde-Théâtre de la Madeleine.
-"La balance" (1975), de Claude Reichman-Mise en scène de René Clermont-Rôle de Madame Alliaud-Théâtre Fontaine.
-"Le pont japonais" (1978), de Léonard Spigelgass-Mise en scène de Gérard Vergez-Rôle de Madame Blum-Théâtre Antoine.
-"La promenade du dimanche" (1980), de Georges Michel-Mise en scène de l'auteur-Théâtre des Pays de Loire.
A part Ionesco, Madeleine Damien n'a guère joué les classiques. C'est avec deux pièces du dramaturge roumain qu'elle fit de réels débuts sur les planches, après une éclpise de près de deux décennies. Sur la petite scène du théâtre de la Huchette, à Paris, elle donna, à deux reprises, la réplique à la grande comédienne Tsilla Chelton, spécialiste du théâtre d'Ionesco. Dans "Jacques ou la soumission", qu'elle jouera deux fois, en 1955 et 1961, et dans "L'avenir est dans les oeufs" (1962), qui en est la suite, Madeleine Damien interprète à la fois le père et la grand-mère de Jacques (Jean-Louis Trintignant), jeune homme rebelle qui, dans un premier temps, nargue sa famille en refusant de manger des pommes de terre au lard et en repoussant l'idée du mariage. Dans ce théâtre de l'absurde, qui parodie, en les retournant, les comédies de boulevard, les membres de la famille, tous coalisés contre le révolté, finiront par le faire céder.
Vingt ans plus tôt, après des études théâtrales, elle fait sa première apparition sur une scène de province. C'est au théâtre de La Roche-sur-Yon, en Vendée, qu'elle interprète, dans "La dame aux camélias", le personnage d'Olympe, salonnarde fastueuse qui accueille, à l'acte IV, Armand Duval décidé à se venger d'une Marguerite Gautier qu'il croit infidèle. Dans l' "Ouest-éclair" du 29 octobre 1934, qui relate la représentation, on dit de Madeleine Christian (Madeleine Damien débute sous le pseudonyme de son père) " (...) qu'elle répara par son art ce que la nature lui avait refusé (...); elle fut fort appréciée dans le personnage d'Olympe". Ce commentaire un peu impertinent n'est guère charitable. Vingt ans plus tard, sur la scène du théâtre municipal de Caen, elle incarne, dans une pièce peu jouée d'Emile Zola, "Les héritiers Rabourdin", une nièce désireuse de détourner à son profit une part de l'héritage d'un oncle qui se sait désargenté, mais le laisse ignorer à sa famille. Un article de l'époque (1956) parle du "talent indéniable" de Madeleine Damien.
Elle joue encore plusieurs petits rôles dans un des chefs-d'oeuvre de ce théâtre de l'absurde qu'elle semble affectionner; elle paraît ainsi dans "Schweyk dans la deuxième guerre mondiale" (1961), de Brecht, sous la direction de Roger Planchon.
Après l'univers d'Ionesco et Brecht, Madeleine Damien s'insère dans le monde poétique et lunaire de Giraudoux. Elle est Mlle Chèvredent dans "L'Apollon de Bellac" (1963), cette secrétaire du Président, laide et renfrognée, "dont (lui dit son patron) la maussaderie pousse sur vous comme l'agaric sur le tronc du châtaignier". Aussi le Président la remplacera-t-til par la charmante Agnès.
Madeleine Damien s'oriente ensuite vers des oeuvres plus légères et aborde avec le même talent un théâtre de boulevard de qualité. On peut ainsi l'applaudir dans "Le système Fabrizzi" (1964), avec Dany Carrel, ou dans la célèbre pièce d'André Roussin, "La voyante" (1971), qui fut un immense succès pour son interprète, la grande Elvire Popesco. Madeleine Damien incarne la confidente de cette chiromancienne, qui préside l'ordre des voyantes et doit faire face aux conséquences de ses fausses prédictions. Elle montre la même pétulance, aux côtés de Jean Piat et Michel Beaune, dans "Le Tournant" (1973), une des pièces les plus populaires de Françoise Dorin.
Madeleine Damien défend le plus souvent un répertoire original, illustré par des écrivains contemporains. C'est notamment le cas de Michèle Perrein, l'auteur du "Buveur de Garonne", dont elle joue, aux côtés de Nicole Garcia et Claire Nadeau, la pièce "L'hôtel Racine" (1966). A noter aussi sa participation à "David la nuit tombe" (1971), du dramaturge et essayiste Bernard Kops, à qui l'on doit une pièce sur le destin tragique d'Anne Frank. Sa dernière apparition sur scène, Madeleine Damien la consacrera à "La promenade du dimanche", en 1980, pièce du dramaturge communiste et autodidacte Georges Michel.
Madeleine Damien a également tourné pour le cinéma.
CARRIERE AU CINEMA:
-"le bon Dieu sans confession" (1953), de Claude Autant-Lara.
-"Fric frac en dentelles" (1957), de Guillaume Radot-Rôle de Madame Courenju.
-"Trique, gamin de Paris" (1962), de Marco de Gastyne.
-"Le pèlerin perdu" (1962), court-métrage de Guy Jorré.
-"Le temps des copains" (1963), de Robert Guez.
-"Le journal d'une femme de chambre" (1964), de Luis Bunuel-Rôle de la cuisinière.
-"Le dimanche de la vie" (1967), de Jean Herman.
-"Le voleur" (1967), de Louis Malle-Rôle de Marie-jeanne.
-"Alexandre le bienheureux" (1968), d'Yves Robert-Rôle de Madame Boisseau.
-"Ne jouez pas avec les Martiens" (1968), d'Henri Lanoë-Rôle de la patronne du bar.
-Un coin tranquille à la campagne" ("Un tranquillo posto di campagna"-1968), d'Elio Petri-Rôle de la mère de Wanda.
-"Benjamin ou les mémoires d'un puceau" (1968), de Michel Deville-Rôle de la belle-mère de Mme de La Tour.
-"L'ascenseur" (1968), court-métrage de Pierre Lary.
-"L'arbre de Noël" (1969), de Terence Young-Rôle de Marinette.
-"Paris n'existe pas" (1969), de Robert Benayoun-Rôle de la vieille dame.
-"Mourir d'aimer" (1971), d'André Cayatte.
-"La mandarine" (1972), d'Edouard Molinaro-Rôle d'Augustine.
-"Un meurtre est un meurtre" (1972), d'Etienne Périer-Rôle de la vieille dame.
-"Themroc" (1973), de Claude Faraldo.
-"Un officier de police sans importance" (1973), de Jean Larriaga.
-"Le mouton enragé" (1974), de Michel Deville.
-"La dernière violette" (1974), court-métrage d'André Hardellet.
-"Cours après moi...que je t'attrape" (1976), de Robert Pouret-Rôle de la cliente.
-"Bilitis" (1977), de David Hamilton-Rôle de Nanny.
-"L'aigle et la colombe" (1977), de Claude Bernard-Aubert.
-"La coccinelle à Monte-Carlo" ("Herbie goes to Monte Carlo"-1977), de Vincent McEveety-Rôle de la vieille dame.
-"L'argent des autres" (1978), de Christian de Chalonge.
-"Je vous fetrai aimer la vie" (1979), de Serge Korber.
-"Et la tendresse?...Bordel!" (1979), de Patrick Schulmann-Rôle de la concierge.
-"Ecoute voir..." (1979), d'Hugo Santiago.
-"Ras le coeur" (1980), de Daniel Colas-Rôle de la vieille dame.
-"Enigma" (1982), de Jeannot Szwarc.
Madeleine Damien attendit d'avoir plus de cinquante ans avant d'entamer une carrière au cinéma. Pour l'un de ses premiers films, elle figure, avec Maximilienne et Pauline Carton, une des commères de la petite ville où, dans "Fric frac en dentelles" (1957), de Guillaume Radot, s'est réfugié un Peter van Eyck recherché pour meurtre.
Madeleine Damien a eu très peu de rôles notables au cinéma. Elle a pourtant tenu des emplois importants dans deux courts-métrages. L'un dans "L'ascenseur" (1968), de Pierre Lary, avec Martine Brochard. L'autre dans "La dernière violette" (1973), d'André Hardellet, où elle interprète une vieille dame menacée par un tueur qui a les traits de Serge Gainsbourg. A noter aussi sa participation au film de Louis Malle, "Le voleur" (1967), avec Jean-Paul Belmondo ou sa colaboration à "Alexandre le bienheureux" (1968), d'Yves Robert.
On lui offre aussi des rôles de mère, souvent peu consistants. Elle est ainsi la mère de Grabriella Grimaldi, qui joue une comtesse nymphomane dans "Un coin tranquille à la campagne" (1969), d'Elio Petri. Parfois, des emplois un peu plus développés de gouvernantes fidèles ou de domestiques dévouées lui procurent quelques scènes où son talent, pétri d'humanité et de simplicité, se révèle aussitôt. C'est le cas de Marinette, la vieille gouvernante de William Holden dans "L'arbre de Noël" (1969), de Terence Young, ou encore d'Augustine, la femme de chambre de la famille pittoresque de "La mandarine" (1972), d'Edouard Molinaro.
Pour le reste, Madeleine Damien dut se contenter de silhouettes anonymes de concierges, de cuisinières ou de vieilles dames.
La télévision servit à peine mieux le talent de Madeleine Damien.
CARRIERE A LA TELEVISION:
-"Le temps de copains", série de Robert Guez-Rôle de Madame Arnulf.
-"Le château de Lestrange" (1962), de Bernard Hecht-Dans le cadre de la série "La belle et son fantôme"-Rôle de Gabrielle.
-"La nuit de Gustave" (1962), de Bernard Hecht-Dans le cadre de la série "La belle et son fantôme"-Rôle de Gabrielle.
-"Troisième nuit au château" (1962), de Bernard Hecht-Dans le cadre de la série "La belle et son fantôme"-Rôle de Gabrielle.
-"Minna de Lestrange" (1962)-Dans le cadre de la série "La belle et son fantôme"-Rôle de Gabrielle.
-"La villa rose" (1962), de Bernard Hecht-Dans le cadre de la série "La belle et son fantôme"-Rôle de Gabrielle.
-"Le puits de la cave" (1962), de Bernard Hecht-Dans le cadre de la série "La belle et son fantôme"-Rôle de Gabrielle.
-"Escale obligatoire" (1962), de Jean Prat-Rôle de la femme sèche.
-"Le petit Claus et le grand Claus" (1964), de Pierre Prévert-Rôle de la grand-mère du grand Claus.
-"Voie de fait" (1967), de Jean-Pierre Decourt-Dans le cadre de la série "Les cinq dernières minutes"-Rôle de la concierge.
-"Hôtel Racine" (1967), de Pierre Badel-Rôle de Jeannette.
-"Caviar ou lentilles" (1967), pièce de Giulio Scarinicci et Renzo Tarabusi-Adaptation de Jean Rougeul-Dans le cadre de l'émission "Au théâtre ce soir"-Mise en scène de Gérard Vergès-Rôle de Mathilde-Réalisation de Pierre Sabbagh.
-"Le système Fabrizzi" (1967), pièce d'Albert Husson-Dans le cadre de l'émission "Au théâtre ce soir"-Mise en scène de Sacha Pitoëff-Rôle de Madame Varella-Réalisation de Pierre Sabbagh.
-"Signé Picpus" (1968), de Jean-Pierre Decourt-Dans le cadre de la série "Les enquêtes du commissaire Maigret"-Rôle de Mademoiselle Le Cloaguen.
-"L'homme de l'ombre" (1968), série de Guy Jorré (3ème épisode).
-"Qui hantait le presbytère de Borley?" (1968), d'Alain Boudet-Dans le cadre de la série "Le tribunal de l'impossible"-Rôle d'Ethel.
-"Le soleil des eaux" (1969), de Jean-Paul Roux.
-"Noëlle aux quatre vents" (1970), d'Henri Colpi-Rôle de Madame Marie.
-"La nuit tourne mal" (1971), de Pierre Viallet-Rôle de Madame Akenweller.
-"Pot-Bouille" (1972), d'Yves-André Hubert.
-"La voyante" (1972), pièce d'André Roussin-Dans le cadre de l'émission "Au théâtre ce soir"-Mise en scène de l'auteur-Rôle de Biscotte-Réalisation de Pierre Sabbagh.
-"Allô! Juliette" (1972), de Jacques Pierre-Rôle de Marguerite.
-"David, la nuit tombe" (1973), d'André Barsacq-Rôle de Mme Everett.
-"Le crime de Janet Preston" (1973), de Jean Pignol-Rôle de Mrs Butting.
-"Le double assassinat de la rue Morgue" (1973), de Jacques Nahum-Rôle de la vieille dame.
-"Les exilés (1975), de Guy Lessertisseur-Rôle de Brigitte.
-"L'affaire Jasseron" (1976), d'André Michel-Dans le cadre de la série "Messieurs les jurés"-Rôle de Madame Poiroux.
-"Nadine" (1977), de Philippe Joulia-Dans le cadre de la série "Les cinq dernières minutes".
-"Des choses merveilleuses" (1977), pièce de Claude Reichman-Dans le cadre de l'émission "Au théâtre ce soir"-Mise en scène de René Clermont-Rôle de Madame Alliaud-Réalisation de Pierre Sabbagh;
-"La valse oubliée" (1978), de Michel Boisrond-Dans le cadre de la série "Les folies Offenbach".
-"La femme rompue" (1978), de Josée Dayan-Dans le cadre de la série "Cinéma 16"-Rôle de Madame Dormoy.
-"Médecins de nuit" (1978)-Episode réalisé par Philippe Lefebvre-Rôle d'Anne.
-"Le crime des innocents" (1979), de Roger Dallier-Rôle de la grand-mère.
-"Un amour exemplaire" (1980), pièce de Maurice Horgues-Dans le cadre de l'émission "Au théâtre ce soir"-Mise en scène de Jacques Ardouin-Rôle d'Albertine-Réalisation de Pierre Sabbagh.
-"Le sexe et le néant" (1980), pièce de Thierry Maulnier-Dans le cadre de l'émission "Au théâtre ce soir"-Mise en scène de Jacques Ardouin-Rôle de Martha-Réalisation de Pierre sabbagh.
-"Le pont japonais" (1981), de Jacques Duhen-Rôle de Madame Blum.
-"Adieu ma chérie" (1981), de Serge Friedman.
Comme beaucoup de comédiennes de théâtre, Madeleine Damien a repris pour le petit écran la plupart des pièces qu'elle a défendues sur les planches. Entre "La voyante" et "Le pont japonais", en passant par "David, la nuit tombe" ou encor "Caviar et lentilles", elle a ainsi joué, dans les mêmes rôles, sept de ses pièces pour les caméras de la télévision, dont plusieurs dans le cadre de la célèbre émission "Au théâtre ce soir".
Madeleine Damien est aussi apparue dans des séries familières aux téléspectateurs assidus. On a ainsi pu la voir, jouant une concierge, dans un épisode des "Cinq dernières minutes" (1966), et dans un autre de la passionnante série de Michel Subiéla, "Le tribunal de l'impossible".
Elle participe également à quelques feuilletons, comme "La belle et son fantôme" (1962), de Bernard Hecht, tourné en Haute-Loire, et dont l'intrigue tourne autour d'un château et d'une famille noble. On la voit aussi dans une enquête du commissaire Maigret, "Signé Picpus" (1968), avec Jean Richard. Elle y appartient à une famille mêlée à l'étrange assassinat d'une voyante.
Dans la plupart de ses téléfilms, Madeleine Damien est confinée à des rôles de domestiques ou de suivantes. C'est le cas dans "Les exilés" (1975), de Guy Lessertisseur, d'après James Joyce, où elle incarne la gouvernante d'un écrivain irlandais (Pierre Vaneck) et de sa famille. Dans "La femme rompue" (1978), de Josée Dayan, dialogué par Simone de Beauvoir d'après un de ses romans, elle compose une femme de ménage.
Merci d'avoir passez du temps à évoquer sa carrière, je suis son petit filsCordialement
Jean Francois
Je suis heureux d'avoir pu le faire. J'ai toujours apprécié Madeleine Damien. Elle avait un jeu d'une grande justesse et elle imprimait au moindre de ses rôles une part d'humanité. Cordialement, JPLhttp://kmalden.centerblog.net
Dans quelles pièces avez vous joué ensemble ?Je ne suis pas acteur. Je voulais simplement dire qu'en tant que spectateur j'ai toujours admiré le jeu de Madeleine Damien. Cordialementhttp://kmalden.centerblog.net
Ça tout autant de valeur :)Jean Francois
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