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merci pour cette documentation
je viens de regarder " miroir "
Par Anonyme, le 26.01.2025
bonjour, j'ai oublié le titre d'un téléfilm après 1968 où hélène dieudonné regardait à la télé brigitte
Par Cantalou, le 07.01.2025
comment retrouver les chroniques de jacques grello dans le journal l'équipe (1952 ?)
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merci beaucoup et merci pour elle
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c'était un athléte naturel
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Date de création : 29.05.2011
Dernière mise à jour :
20.12.2025
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Pierre Collet fait partie de ces visages familiers du petit comme du grand écran, mais sur lequel on ne parvient jamais à mettre un nom. Quand on évoque cet acteur discret, on pense toujours à son rôle de policier qui, dans la célèbre série "Les cinq dernières minutes", avec Raymond Souplex, fait les cent pas devant les bureaux de la police judiciaire. Il est vrai que, par rapport à d'autres personnages, ce rôle de planton, même limité à quelques scènes très brèves, était plus consistant que la plupart des silhouettes que le comédien eut l'occasion de composer.
Cet acteur au visage de M tout le monde fréquenta les écrans de cinéma durant trois décennies.
CARRIERE AU CINEMA:
-"Adieu Léonard" (1943), de Pierre Prévert-Rôle du marchand d'habits.
-"Service de nuit" (1944), de Jean Faurez-Rôle d'un réparateur de lignes.
-"Coup de tête" (1944), de René Le Hénaff.
-"Florence est folle" (1944), de Georges Lacombe.
-"Nuits d'alerte" (1946), de Léon Mathot.
-"La maison sous la mer" (1947), d'Henri Calef-Rôle d'un mineur.
-"Le fugitif" (1947), de Robert Bibal-Rôle de Bernard.
-"Histoires extraordinaires à faire peur ou à faire rire..." (1949), de Jean Faurez-Rôles de Cotin et de François.
-"Premières armes" (1950), de René Wheeler.
-"Si Versailles m'était conté" (1954), de Sacha Guitry.
-"Si Paris nous était conté" (1956), de Sacha Guitry.
-"Méfiez-vous, fillettes!" (1957), d'Yves Allégret.
-"Thérèse Etienne" (1958), de Denys de La Patellière-Rôle de l'avocat.
-"Echec au porteur" (1958), de Gilles Grangier-Rôle de Tréguennec.
-"Le désordre et la nuit" (1958), de Gilles Grangier-Rôle d'un inspecteur.
-"Le vent se lève" (1959), d'Yves Ciampi-Rôle d'un homme d'équipage.
-"Le fauve est lâché" (1959), de Maurice Labro-Rôle de Marcel.
-"La valse du gorille" (1959), de Bernard Borderie-Rôle de Bergère.
-"Des femmes disparaissent" (1959), d'Edouard Molinaro-Rôle de Nasol.
-"125 rue Montmartre" (1959), de Gilles Grangier.
-"Le chemin des écoliers" (1959), de Michel Boisrond-Rôle d'un gendarme.
-"Archimède le clochard" (1959), de Gilles Grangier-Rôle du gendarme Dupont.
-"Quai du Point-du-Jour" (1960), de Jean Faurez.
-"Recours en grâce" (1960), de Laslo Benedek-Rôle du gendarme Fromont.
-"Les vieux de la vieille" (1960), de Gilles Grangier-Rôle du livreur de bières.
"Terrain vague" (1960), de Marcel Carné.
-"Les honneurs de la guerre" (1961), de Jean Dewever-Rôle de Morizot.
-"Le cave se rebiffe" (1962), de Gilles Grangier-Rôle du chauffeur de taxi.
-"Les ennemis" (1962), d'Edouard Molinaro-Rôle de René.
-"Le gentleman d'Epsom" (1962), de Gilles Grangier-Rôle d'un parieur à jumelles.
-"Des frissons partout" (1963), de Raoul André-Rôle d'un gendarme.
-"Mélodie en sous-sol" (1963), d'Henri Verneuil.
-"Le temps des copains" (1963), de Robert Guez.
-"Si tous les amoureux du monde..." (1963), de Grégoire Brainin.
-"La parole est au témoin" (1963), de Jean Faurez.
-"Croniques anachroniques" (1963), court-métrage de Bernard Deflandre.
-"Le journal d'une femme de chambre" (1964), de Luis Bunuel-Rôle du voyageur.
-"Cent mille dollars au soleil" (1964), d'Henri Verneuil-Rôle d'un homme de main.
-"Requiem pour un caïd" (1964), de Maurice Cloche.
-"L'insoumis" (1964), d'Alain Cavalier-Rôle du policier au barrage.
-"Fantômas" (1964), d'André Hunebelle-Rôle d'un agent.
-"Week-end à Zuydcoote" (1964), d'Henri Verneuil-Rôle du capitaine français.
-"Les gorilles" (1964), de Jean Girault-Rôle d'un gardien de prison.
-"Le ciel sur la tête" (1965), d'Yves Ciampi.
-"Le vampire de Dusseldörf" (1965), de Robert Hossein-Rôle du contremaître.
-"Fifi la plume" (1965), d'Albert Lamorisse-Rôle d'un truand.
-"Lutring...Réveille-toi et meurs" ("Svegliati e uccidi") (1966), de Carlo Lizzani-Rôle de l'hôtelier.
-"Mademoiselle" (1966), de Tony Richardson-Rôle de Marcel.
-"Paris brûle-t-il?" (1966), de René Clément-Rôle d'un policier résistant.
-"La fantastique histoire vraie d'Eddie Chapman" (Triple cross") (1966), de Terence Young-Rôle du gardien de pison allemand.
-"Le grand dadais" (1967), de Pierre Granier-Defferre-Rôle du commissaire.
-"Théâtre de Monsieur et Madame Kabal" (1967), film d'animation de Walerian Borowczyk-Voix.
-"Sous le signe de Monte Cristo" (1968), d'André Hunebelle-Rôle de l'ami d'Edmond.
-"Une corde, un colt..." (1969), de Robert Hossein-Rôle du shérif Ben.
-"La vie, l'amour, la mort" (1969), de Claude Lelouch-Rôle du bourreau.
-"Goto, l'île d'amour" (1969), de Walerian Borowczyk.
-"Les patates" (1969), de Claude Autant-Lara-Rôle d'un paysan.
-"Le passager de la pluie" (1970), de René Clément.
-"Vertige pour un tueur" (1970), de Jean-Pierre Desagnat-Rôle du routier.
-"Le cercle rouge" (1970), de Jean-Pierre Melville-Rôle du gardien de prison.
-"Le voyou" (1970), de Claude Lelouch.
-"La part des lions" (1971), de Jean Larriaga-Rôle du paysan.
-"La cavale" (1971), de Michel Mitrani.
-"La veuve Couderc" (1971), de Pierre Granier-Deferre-Rôle du commissaire Mallet.
-"La sécurité est un combat" (19712), court-métrage de Jean Goumain.
-"La scoumoune" (1972), de José Giovanni-Rôle du directeur de la prison.
-"Tintin et le lac aux requins" (1972), film d'animation de Raymond Leblanc-Voix du commentateur TV.
-"Le gang des otages" (1973), d'Edouard Molinaro.
-"Le silencieux" (1973), de Claude Pinoteau-Rôle du garagiste.
-"Un officier de police sans importance" (1973), de Jean Larriaga.
-"L'invitation" (1973), de Claude Goretta-Rôle de Pierre.
-"Commando sur les stups" ("Hit!") (1973), de Sidney J. Furie-Rôle de Zéro.
-"L'emmerdeur" (1973), d'Edouard Molinaro-Rôle du boucher.
-"Deux hommes dans la ville" (1973), de José Giovanni-Rôle du commissaire.
-"Le train" (1973), de Pierre Granier-Deferre-Rôle du maire de Funnoy.
-"Les grands sentiments font les bons gueuletons" (1973), de Michel Berny-Rôle de l'automobiliste.
-"Nuits rouges" (1974), de Georges Franju-Rôle du Grand Maître des templiers.
-"Bons baisers...à lundi" (1974), de Michel Audiard.
-"Dupont Lajoie" (1974), d'Yves Boisset-Rôle d'un ivrogne.
-"French connection II" (1975), de John Frankenheimer-Rôle du vieux professionnel.
-"Opération Lady Marlène" (1975), de Robert Lamoureux-Rôle du concierge.
-"Oublie moi Mandoline" (1976), de Michel Wyn.
-"Le jour de noces" (1977), de Claude Goretta-Rôle de Félix.
Un visage anonyme mais rassurant, une physionomie un peu butée, et cet air du monsieur qu'on croise au coin de la rue, en train de promener son chien ou de faire sa ronde. Car l'uniforme, c'est bien la tenue que préfère Pierre Collet, ou que, du moins, lui imposent souvent les producteurs. Le voilà en effet gendarme: dans "Le chemin des écoliers" (1959), de Michel Boisrond, "Recours en grâce" (1960), de Laslo Benedek, ou encore"Des frissons partout" (1963), de Raoul André. Mais la police n'a non plus de secret pour lui: il coiffe le képi du policier dans "L'insoumis" (1964), d'Alain Cavalier, "Fantômas" (1964), d'André Hunebelle, ou dans "Paris brûle-t-il?" (1966), de René Clément, où il rejoint même la résistance à l'envahisseur. Parfois, il prend du galon, et troque l'uniforme contre la gabardine de l'inspecteur, comme dans "Le désordre et la nuit" (1958), de Gilles Grangier, ou contre le costume trois pièces du commissaire, dans "Le grand dadais" (1967), de Pierre Granier-Deferre, "La veuve Couderc", du même réalisateur, ou encore "Deux hommes dans la ville" (1973), de José Giovanni. Le temps d'un film, le trousseau de clefs du maton peut aussi orner sa ceinture, comme dans "Les goriles" (1964), de Jean Girault, "Le cercle rouge" (1970), de Jean-Pierre Melville ou "La scoumoune" (1972), de José Giovanni où, de simple gardien, il est même promu à la direction de la prison. Représentant de la loi, Pierre Collet la défendra même en guillotinant les accusés dans "La vie, l'amour, la mort" (1969), de Claude Lelouch, où il incarne un bourreau. Et qui eût cru que, dans "Une corde, un colt..." (1969), de Robert Hossein, il pouvait même coiffer le stetson du shérif? La loi, Pierre Collet lui est en effet rarement infidèle, comme dans "Fifi la plume" (1965), d'Albert Lamorisse, où il incarne un truand.
Pour le reste, Pierre Collet a dû se contenter de crayonner de fugitives silhouettes, souvent non créditées au générique. Dépourvu d'identité, il compose souvent des personnages issus du peuple: un marchand d'habits dans "Adieu Léonard" (1943), de Pierre Prévert, un mineur dans "La maison sous la mer" (1947), d'Henri Calef, un garagiste dans "Le fauve est lâché" (1959), de Maurice Labro, un chauffeur de taxi dans "Le cave se rebiffe" (1961), de Gilles Grangier, un paysan dans "Les patates" (1969), de Claude Autant-Lara, ou encore un routier dans" Vertige pour un tueur" (1970), de Jean-Pierre Desagnat.
Son allure plébéienne n'a cependant pas empêché Pierre Collet d'endosser, à de rares occasions, le costume de notable. Il revêt ainsi la robe d'avocat dans "Thérèse Etienne", de Denys de La Patellière, enfile les gants blancs de l'officier dans "Week-end à Zuydcoote" (1964), d'Henri Verneuil, ou arbore l'écharpe du premier magistrat dans "Le train" (1973), de Pierre Granier-Deferre. Il personnifie même, dans "Nuit rouge" (1963), de Georges Franju, le grand maître des Templiers!
De temps à autre, on fait à Pierre Collet l'honneur de lui donner un nom. Mais son identité retrouvée ne lui permet guère de brosser des personnages plus consistants. C'est le cas de l'inspecteur Tréguennec de "Echec au porteur" (1957), de Gilles Grangier ou de l'espion Bergère dans "La valse du gorille" (1959), de Bernard Borderie. On le voit aussi jouer les gros bras dans "Des femmes disparaissent" (1959), d'Edouard Molinaro, où il est Nasol, un homme de main d'un caïd marseillais, joué par Jacques Dacqmine; le réalisateur lui a, pour une fois, réservé plusieurs scènes: celle où il agresse Robert Hossein, et une autre, où il est assassiné par son patron. Il fait aussi partie de la bande de Jacques Monod, un ex policier radié, dans "Les ennemis" (1962), d'Edouard molinaro.Jean Dewever, dans un admirable film méconnu, "Les honneurs de la guerre" (1962), donne à Pierre Collet (ainsi qu'à Paul Mercey, un autre troisième couteau talentueux) un rôle important: il fait en effet partie des villageois qui, au moment de la Libération, fêtent prématurément la victoire, avant de résister à une compagnie de soldats allemands ouverts cependant à la négociation.
Pierre Collet a aussi participé à quelques films étrangers: "Lutring...réveille-toi et meurs" (1966), de Carlo Lizzani (le réalisateur de "La chronique des pauvres amants"), avec Gian Maria Volonté, "La fantastique histoire vraie d'Eddie Chapman" (1966), de Terence Young, avec Christopher Plummer et Romy Schneider ou encore "Commando sur les stups" (1973), de Sidney J.Furie, avec Richard Pryor. Certains metteurs en scènze, et pas toujours des moindres, ont été fidèles à cet acteur discret: Gilles Grangier, Lelouch ou, plus surprenant , Walerian Borowycz, le sulfureux réalisateur de "La bête" ou des "Héroïnes du mal".
Pierre Collet fut aussi très présent sur les plateaux de télévision.
CARRIERE A LA TELEVISION:
-"Un grain de sable" (1959), de Claude Loursais-Dans le cadre de la série "Les cinq dernières muinutes"-Rôle du brigadier Coulomb.
-"Sans en avoir l'air" (1959), de Claude Loursais-Dans le cadre de la série "Les cinq dernières minutes"-Rôle du brigadier Coulomb.
-"Poison d'eau douce" (1959), de Claude Loursais-Dans la série "Les cinq dernières minutes"-Rôle du brigadier Coulomb.
-"Au fil de l'histoire" (1960), de Claude Loursais-Dans le cadre de la série "Les cinq dernières minutes"-Rôle du brigadier Coulomb.
-"Un poing final" (1960), de Claude Loursais-Dans le cadre de la série "Les cinq dernières minutes"-Rôle du brigadier Coulomb.
-"Qui trop embrasse" (1960), de Claude Loursais-Dans le cadre de la série "Les cinq dernières minutes"-Rôle du brigadier Coulomb.
-"Sur la piste" (1961), de Claude Loursais-Dans le cadre de la série "Les cinq dernières minutes"-Rôle du brigadier Coulomb.
-"Cherchez la femme" (1961), de Claude Loursais-Dans le cadre de la série "Les cinq dernières minutes"-Rôle du brigadier Coulomb.
-"Epreuves à l'appui" (1961), de Claude Loursais-Dans le cadre de la série "Les cinq dernières minutes"-Rôle du brigadier Coulomb.
-"L'avoine et l'oseille" (1961), de Claude Loursais-Dans le cadre de la série "Les cinq dernières minutes"-Rôle du brigadier Coulomb.
-"Cosette" (1961), d'Alain Boudet-Dans le cadre de la série" Le théâtre de la jeunesse"-Rôle du gendarme.
"Flore et Blancheflore" (1961), de Jean Prat.
-"Le tzigane et la dactylo" (1962), de Pierre Nivollet-Dans le cadre de la série "Les cinq dernières minutes"-Rôle du brigadier Coulomb.
-"Mort d'un casseur" (1962), de Guy Lessertisseur-Dans le cadre de la série "Les cinq dernières minutes"-Rôle du brigadier Coulomb.
-"Un mort à la une" (1962), de Pierre Nivollet-Dans le cadre de la série "Les cinq dernières minutes"-Rôle du brigadier Coulomb.
-"L'eau qui dort" (1963), de Claude Loursais-Dans le cadre de la série "Les cinq dernières minutes"-Rôle du brigadier Coulomb.
-"Une affaire de famille" (1963), de Jean-Pierre Marchand-Dans le cadre de la série "Les cinq dernières lminutes"-Rôle du brigadier Coulomb.
-"L'agent double" (1963), de Maurice Cazeneuve-Dans le cadre de la série "L'inspecteur Leclerc enquête"-Rôle du porteur.
-"Leclerc et Bourrel" (1963), de Marcel Bluwal-Dans le cadre de la série "La revue des feuilletons"-Rôle de l'agent Coulomb.
-"La vérité sur l'affaire du courrier de Lyon" (1963), de Stellio Lorenzi-Dans le cadre de la série "La caméra explore le temps"-Rôle du maître de poste.
-"La route" (1963), série de Pierre Cardinal-Rôle du patron routier.
-"Fenêtre sur jardin" (1964), de Claude Loursais-Dans le cadre de la série "Les cinq dernières minutes"-Rôle du brigadier Coulomb.
-"45 tours...et puis s'en vont" (1964), de Bernard Hecht-Dans le cadre de la série "Les cinq dernières minutes"-Rôle du brigadier Coulomb.
-"Quand le vin est tiré" (1964), de Claude Loursais-Dans le cadre de la série "Les cinq dernières minutes"-Rôle du brigadier Coulomb.
-"Sans fleurs ni couronnes" (1964), de Claude Loursais-Dans le cadre de la série "Les cinq dernières minutes"-Rôle du brigadier Coulomb.
-"Mata Hari" (1964), de Guy Lessertisseur-Dans le cadre de la série "La caméra explore le temps"-Rôle du portier.
-"Le mystyère de Choisy" (1964)-Dans le cadre de la série "La caméra explore le temps".
-"L'enfant d'Edouard" (1964), de Robert Guez-Dans le cadre de la série "Thierry la Fronde"-Rôle d'un officier.
-"Woyzeck" (1964), de Marcel Bluwal-Rôle de l'aubergiste.
-"A la recherche d'un passé" (1964), de Yannick Andréi-Dans le cadre de la série "L'abonné de la ligne U"-Rôle du gendarme motocycliste.
-"Les hommes" (1964), d'Albert Riera-Rôle du grand maigre.
-"L'héritage mystérieux" (1964), de Jean-Pierre Decourt-Dans la série "Rocambole"-Rôle du commissaire.
-"La belle jardinière" (1964), de Jean-Pierre Decourt-Dans le cadre de la série" Rocambole".
-"Cour d'assise: dossier N.2" (1964), de Pierre Cardinal-Rôle du commissaire.
-"Une chance sur mille" (1965), de Pierre Cardinal-Dans la série "Verdict"-Rôle du commissaire.
"Napoléon est mort à Saint-Mandé" (1965), de Claude Loursais-Dans le cadre de la série "Les cinq dernières minutes"-Rôle du brigadier Coulomb.
-"Des fleurs pour l'inspecteur" (1965), de Claude Loursais-Dans le cadre de la série "Les cinq dernières minutes"-Rôle du brigadier Coulomb.
-"La chasse aux grenouilles" (1965), de Claude Loursais-Dans le cadre de la série "Les cinq dernières minutes"-Rôle du brigadier Coulomb.
-"La belle jardinière" (1965), de Jean-Pierre Decourt-Dans le cadre de la série "Rocambole"-Rôle du policier.
-"Les jeunes années" (1965), de Joseph Drimal.
-"Pigeon vole" (1966), de Claude Loursais-Dans le cadre de la série "Les cinq dernières minutes"-Rôle du brigadier Coulomb.
-"La rose de fer" (1966), de Jean-Pierre Marchand-Dans le cadre de la série "Les cinq dernières minutes"-Rôle du brigadier Coulomb.
-"La mort masquée" (1967), de Guy Lessertisseur-Dans le cadre de la série "Les cinq dernières minutes"-Rôle du brigadier Coulomb.
-"Finir en beauté" (1967), de Claude Loursais-Dans le cadre de la série "Les cinq dernières minutes"-Rôle du brigadier Coulomb.
-"Un mort sur le carreau" (1967), de Roland-Bernard-Dans le cadre de la série "Les cinq dernières minutes"-Rôle du brigadier Coulomb.
-"Voies de fait" (1967), de Jean-Pierre Decourt-Dans le cadre de la série "Les cinq dernières minutes"-Rôle du brigadier Coulomb.
-"Vidocq à Bicêtre" (1967), de Claude Loursais-Dans le cadre de la série "Vidocq".
-"Le temps des cerises" (1967), de Jean-Paul Roux-Rôle de Gaston.
-"Salle N.8" (1067), de Jean Dewever et Robert Guez.
-"Le petit jardin" (1967), de François Moreuil-Dans le cadre de la série "Malican père et fils"-Rôle du brigadier.
-"Spéciale dernière" (1967), d'Alain Dhénaut-Rôle de Pinocchio.
-"Les enfants du faubourg" (1968), de Claude Loursais-Dans le cadre de la série "Les cinq dernières minutes"-Rôle du brigadier Coulomb.
-"Tarif de nuit" (1968), de Guy Seligmann-Dans le cadre de la série "Les cinq dernières minutes"-Rôle du brigadier Coulomb.
-"Le condamné à mort" (1968)-Dans le cadre de la série "L'homme de l'ombre".
-"L'évêque contrebandier" (1968), de Jean Goumain et Pierre Neurisse-Dans le cadre de la série "Gorri le diable"-Rôle du capitaine Guibert.
-"Bohémiens" (1968), de Jean Goumain et Pierre Neurisse-Dans le cadre de la série "Gorri le diable"-Rôle du capitaine Guibert.
-"Le guet-apens du moine" (1968), de Jean Goumain et Pierre Neurisse-Dans le cadre de la série "Gorri le diable"-Rôle du capitaine Guibert.
-"Gorri hors-la-loi" (1968), de Jean Goumain et Pierre Neurisse-Dans le cadre de la série "Gorri le diable"-Rôle du capitaine Guibert.
-"Le mariage de Gorri" (1968), de Jean Goumain et Pierre Neurisse-Dans le cadre de la série "Gorri le diable"-Rôle du capitaine Guibert.
-"L'attaque du fourgon" (1968), de Jean Goumain et Pierre Neurisse-Dans le cadre de la série "Gorri le diable"-Rôle du capitaine Guibert.
-"Règlement de compte" (1968), de Jean Goumain et Pierre Neurisse-Dans le cadre de la série "Gorri le diable"-Rôle du capitaine Guibert.
-"Bataille de dames" (1968), de Jean Goumain et Pierre Neurisse-Dans le cadre de la série "Gorri le diable"-Rôle du capitaine Guibert.
-"Le triomphe de Gorri" (1968), de Jean Goumain et Pierre Neurisse-Dans le cadre de la série "Gorri le diable"-Rôle du capitaine Guibert.
-"L'affaire Beliss" (1968), de Jean Bertho-Dans le cadre de la série "En votre âme et conscience".
-"Le commissaire est sur la piste" (1969), de Claude Loursais-Dans le cadre de la série "Les cinq dernières minutes"-Rôle du brigadier Coulomb.
-"Traitement de choc" (1969), de Claude Loursais-Dans le cadre de la série "Les cinq dernières minutes"-Rôle du brigadier Coulomb.
-"L'auberge de Peyrebeilles" (1969), de Guy Lessertisseur-Dans le cadre de la série "En votre âme et conscience".
-"Fortune" (1969), d'Henri Colpi-Rôle d'Heckli.
-"Le chevalier noir" (1969), de Joseph Drimal-Dans le cadre de la série "Thibaud ou les croisades"-Rôle d'Hervé.
-"Lumière violente" (1970), de Roger Gillioz-Rôle de Don Blasco.
-"Madame êtes-vous libre?" (1971), de Claude Heymann.
-"Sous le soleil de Satan" (1971), de Pierre Cardinal-Rôle du père de Malorthy.
-"Un mystère par jour: Equinoxe" (1971), de Guy Jorré-Dans le cadre de la série "Les dossiers du professeur Morgan"-Rôle du capitaine de gendarmerie.
-"Le temps d'un portrait" (1972), de Claude Goretta-Rôle de M. Perré.
-"Figaro ci Figaro là" (1972), d'Hervé Brombergé.
-"Pont dormant" (1972), de Fernand Marzelle-Rôle d'un maraîcher.
-"La fusillade en réponse à Dostoïevsky" (1973)-Rôle de Louis Garinski.
-"Joseph Balsamo" (1973), d'André Hunebelle-Rôle du maréchal-ferrant.
-"Urbain" (1973), de Jacques Ertaud-Dans le cadre de la série "La ligne de démarcation"-Rôle du vigneron.
-"Un homme une ville" (1973), de Joseph Drimal-Rôle de l'éleveur de porcs.
-"Lucien Leuwen" (1973-1974), de Claude Autant-Lara-Participation à 4 épisodes.
-"La folie des bêtes" (1974), de Fernand Marzelle-Rôle du gendarme Santini.
-"Madame Bovary" (1974), de Pierre Cardinal.
-"L'île aux souvenirs" (1975), de Christian-Jaque-Dans le cadre de la série "Jo Gaillard"-Rôle de Le Goff.
-"La Berthe" (1975), de Philippe Joulia-Rôle de Benoît Bouquet.
-"Les tueurs sans âme" (1975), de Georges Franju-Dans le cadre de la série "L'homme sans visage"-Rôle du grand maître des templiers.
-"La mort qui rampait sur les toits" (1975), de Georges Franju-Dans le cadre de la série "L'homme sans visage"-Rôle du grand maître des templiers.
-'Le secret des templiers" (1975), de Georges Franju-Dans le cadre de la série "L'homme sans visage"-Rôle du grand maître des templiers.
-"Splendeurs et misères des courtisanes" (1975), de Maurice Cazeneuve-Rôle du directeur de la prison de la Conciergerie (participation à 9 épisodes).
-"Comme du bon pain" (1976), de Philippe Joulia-Rôle de Bureau.
-"L'affaire Martinez" (1976)-Dans le cadre de la série "Erreurs judiciaires"-Rôle du brigadier.
-"La maison des autres" (1977), de Jean-Pierre Marchand-Rôle du chef cuisinier.
-"Bergeval père et fils" (1977), d'Henri Colpi-Rôle du docteur Berson.
La télévision a mieux servi Pierre Collet que le cinéma. Elle lui a en effet permis d'interpréter, ici et là, de vrais personnages, toujours secondaires, certes, mais gratifiés d'une identité et animés d'une personnalité souvent propre à susciter la sympathie des spectateurs. De cette galerie, émerge, bien sûr, le célèbre gendarme Coulomb qui, durant une décennie, de 1959 à 1969, fit les cent pas devant le bureau du fameux commissaire Bourrel. C'est sur le visage, un peu bourru mais rassurant, de Pierre Collet, képi en tête et mains derrière le dos, que chacun des trente-deux épisodes auxquels il participa commençait. Nul doute que cette série valut à Pierre Collet une sorte de renommée.
Autre rôle notable, celui du capitaine Guibert, l'officier des douanes qui a décidé de lutter contre la contrebande entre la France et l'Espagne dans "Gorri le diable" (1968), un feuilleton qui fit beaucoup pour asseoir la gloire éphémère de Robert Etcheverry. Pour le reste, Pierre Collet retrouve les rôles de gendarme ou de policier qui lui collent à la peau: le voilà encore pandore dans "Cosette" (1961), d'Alain Boudet ou dans un épisode de la série "L'abonné de la ligne U" (1964), mais il est aussi bien commissaire dans un épisode de "Rocambole", avec Pierre Vernier, ou dans "Cour d'assises: dossier N.2" (1964), de Pierre Cardinal.Pierre Collet a d'ailleurs fréquenté d'autres fameuses séries d'une époque où la télévision de service public avait encore un sens: on le vit ainsi, en 1964, dans deux épisodes de "La caméra explore le temps" et il apparut, la même année, dans "Thierry la Fronde", un feuilleton qui marqua les annales de la télévision. En 1967, on l'aperçut encore dans "Vidocq", avec Bernard Noël. Il participa également, en 1968 et 1969, à deux épisides de "En votre âme et conscience", une série judiciaire de grande qualité imaginée par Pierre Dumayet, Pierre Desgraupes et Claude Barma.
A la télévision aussi, Pierre Collet dut se contenter de fugitives silhouettes d'hommes du peuple: il personnifia ainsi des routiers, des porteurs, des aubergistes, des maraîchers ou encore des maréchaux-ferrants. Comme au cinéma, le comédien hérite parfois de rôles un peu plus consistants, comme dans "Le temps des cerises" (1967), de Jean-Paul Roux, avec Bérangère Dautun ou encore "Spéciale dernière", d'après une pièce de Jacques Deval, avec Pierre Mondy et Jacques Balutin. Dans un épisode de la série de Joseph Drimal, "Thibaud ou les croisades" (1969),avec André Lawrence, on découvre avec surprise un Pierre Collet moustachu qui, l'épée au côté, commande une forteresse en Terre sainte. Pierre Collet se voit encore confier un rôle notable, celui de Don Blasco, dans un feuilleton de Roger Gillioz, "Lumière violente" (1970), avec Marianne Comtell, où l'héroïne essaie de faire évader son père, ex Premier ministre d'un pays d'Amérique centrale passé à la dictature.
Deux ans plus tard, Pierre Collet joue un rôle important auprès d'un certain Julien Clerc qui, dans "Le temps d'un portrait", de Claude Goretta, fait ses débuts d'acteur en interprétant un personnage de chanteur pop. Dans "La fusillade en réponse à Dostoïevski" (1973), il incarne Louis Garinski, un des participants à une émeute de la faim qui, dans les années 20, fut réprimée avec violence par les bolcheviques.
Pierre Collet monta très peu sur les planches.
CARRIERE AU THEATRE:
-"Spéciale dernière" (1961), de Ben Hecht et Charles Mac Arthur-Adaptation de Jacques Deval-Mise en scène de Pierre Mondy-Théâtre de la Renaissance.
-"L'alouette" (1967), de Jean Anouilh-Mise en scène de l'auteur et de Roland Pétri-Rôle du bourreau-Théâtre de Paris.
Pierre Collet joue un petit rôle dans "Spéciale dernière", la pièce de Ben Hecht et Charles Mac Arthur, adaptée au cinéma par Billy Wilder, qui reste une des plus spirituelles peintures de l'Amérique des années 20. Dans "L'alouette", d'Anouilh (qu'il met d'ailleurs en scène, comme souvent), qui relate le procès de Jeanne d'Arc, Pierre Collet doit se contenter de personnifier une rapide silhouette de bourreau.
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